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19 février 2019

LUMIX G9 DE PANASONIC LA BETE PHOTOGRAPHIQUE DE L'ANNEE

LE PANASONIC LUMIX G9 CAPTEUR CMOS 4/3

 

panasonic_lumixg9_test_lesnumeriques-1

 

Panasonic se renouvelle et innove toujours plus : une fois encore, le constructeur d'Osaka a mis la barre très haut, sans compromis, afin d'offrir à son Lumix G9 tout ce qu'il sait faire de mieux en photographie. Capteur CMOS 4/3" 20 Mpx stabilisé sur 5 axes, capable de faire gagner jusqu'à 6,5 IL, viseur Oled de 3 680 000 points avec grossissement de 0,83x, rafale jusqu'à 60 i/s, vidéo 4K/UHD en 60p, mode photo en 80 Mpx, autonomie de 900 vues... Des promesses, beaucoup de promesses, que le Lumix G9 a l'outrecuidance de tenir !
CARACTÉRISTIQUES
  • CapteurCMOS 20.3 Mpx, 4/3" , 9.03 Mpx/cm
  • Objectif
  • Stabilisation5 axes
  • ViseurElectronique
  • Ecran7.5 cm, non TN, 1040000 points, 3/2, Multitouch
  • Sensibilité (plage ISO)200 - 25600 ISO
PRÉSENTATION

Parmi les hybrides Lumix, le haut de gamme était tenu par le Lumix GH5, spécialiste de la vidéo. Mais ça, c'était avant. Car désormais, il doit partager son trône avec le Lumix G9, son pendant photographique qui, au passage, lui a emprunté de nombreux éléments techniques, faisant de lui à la fois un spécialiste en photo... et un très, très bon appareil pour la vidéo.

PRISE EN MAINS 5/5
Panasonic_LumixG9_Test_LesNumeriques-5.jpg
Un petit écran, si discret, mais qui change tout et fait entrer le Lumix G9 dans la cours des grands.
Petite minute flash-back : vous souvenez-vous de feu le Samsung NX1, présenté lors de la photokina 2014 ? Très en avance sur son temps, l'hybride coréen brillait par sa fiche technique impressionnante, sa qualité de construction, ses aptitudes vidéo et son ergonomie fort bien pensée. Entre autre, il a longtemps été l'un des rares hybrides dotés d'un écran secondaire sur l'épaule droite et, dans ce flot ininterrompu de quasi-perfection, ne lui manquait que la stabilisation capteur, un second emplacement SD... Bref, un "petit ange parti trop tôt".
 
Pendant des années, nous nous sommes demandé quel hybride prendrait la relève. Et cet héritier est là, enfin, en la personne du Panasonic Lumix G9. Un Japonais qui prend la relève d'un Coréen, qui l'eût cru...
Panasonic_LumixG9_Test_LesNumeriques-1.jpg
Le petit commutateur, en bas à droite de la monture, permet de basculer entre obturation électronique et obturation mécanique.
Pour le Lumix G9, Panasonic ne s'est pas compliqué la vie : prendre ce qu'il y a de mieux dans le Lumix G80, le gonfler légèrement, ajouter ce qu'il y a de mieux dans le Lumix GH5, en l'ajustant, et saupoudrer le tout de quelques coquetteries bien senties. C'est qu'en dix ans d'hybrides, Osaka en a parcouru, du chemin, en qualité de fabrication ! Celle du Lumix G9 est irréprochable jusqu'au bout des vis, même si en conditions extrêmes, sa tropicalisation ne parvient pas encore à égaler celle des gros reflex Canon et Nikon monoblocs qui, justement, sont monoblocs — et, objectivement, coûtent trois fois plus cher...
 
Panasonic_LumixG9_Test_LesNumeriques-2.jpg
La connectique est plus que complète... même si Panasonic n'a pas opté pour une prise USB Type-C.
Le Lumix G9 dispose donc d'un écran secondaire plus que bienvenu. Sur l'épaule gauche, sous la molette des modes, un sélecteur permet de choisir sa cadence de prise de vue. Notez que les positions rafale I et II font, par défaut, exactement la même chose tant que vous ne les avez pas personnalisées. L'ergonomie générale s'inspire de celle du Lumix GH5, avec, sur le capot, les accès directs à la balance des blancs, la sensibilité et la correction d'exposition et, au dos, un joystick, une roue codeuse, un accès direct aux modes de mise au point et modes AF.

L'écran, comme toujours chez Panasonic, est tactile et orientable (sur rotule), mais il s'agit ici de celui du Lumix G80 (7,6 cm, 1 040 000 points) et non pas du LCD HDR (8,1 cm, 1 620 000 points) du Lumix GH5. La connectique est très complète (USB 3.0, HDMI plein format, casque, micro, synchro-flash, Wi-Fi 2,4 et 5 GHz et Bluetooth 4.2), même si nous ne pouvons que regretter que Panasonic ait opté pour un connecteur Micro-B SuperSpeed et non pas pour un connecteur Type-C, ce qui aurait été plus cohérent. Néanmoins, il sera possible de charger le boîtier via ce port, fonction étrangement bien trop rare sur les hybrides Panasonic. D'ailleurs, en parlant d'autonomie, celle du Lumix G9 grimpe aisément jusqu'à 900 vues, grâce au mode Economie et à l'accumulateur de 1 860 mAh chipé au Lumix GH5. Enfin, pour terminer le tour du propriétaire, n'oublions pas les deux emplacements SD UHS-II sur la tranche droite.
Panasonic_LumixG9_Test_LesNumeriques-3.jpg
Le "Menu Perso", à configurer selon votre goût. Notez la triplette joystick + roue codeuse + écran tactile : il y en a pour tous les goûts !
Du côté des menus, ceux-ci sont repris du Lumix GH5. Ce qui implique une meilleure lisibilité, une organisation plus intelligente, ainsi que, comme c'est de plus en plus la tendance (et nous ne nous en plaindrons pas), un onglet "Menu Perso". Bon, bien sûr, comme toujours chez Panasonic, vous croulerez sous les sous- et sous-sous-menus, mais l'ensemble est organisé de manière suffisamment logique — bien plus logique en tout cas que sur un Olympus OM-D E-M1 II ou un Sony Alpha 9 — pour que vous trouviez rapidement vos marques. D'autant plus qu'il ne faut pas oublier que chez Panasonic, le tactile reste opérationnel pour la navigation... De jolis efforts, donc, mais en la matière, du côté des APN à objectifs interchangeables professionnels et sportifs, les Canon demeurent intouchables.
Panasonic_LumixG9_Test_LesNumeriques-4.jpg
Les doubles emplacements SD se généralisent : tant mieux ! Sur le Lumix G9, ils sont en plus UHS-II.
Presque parfait, le Lumix G9 n'est cependant pas sans reproche. Le premier, et le plus perturbant, est la trop grande sensibilité de son déclencheur. D'après les ingénieurs, cela émanerait d'une demande du marché américain, où ils ont apparemment la gâchette facile. Sur notre Vieux Continent, par contre, la plupart des pays (France, Allemagne et Royaume-Uni en tête) auraient réclamé une course plus longue. Un détail, peut-être, mais qui perturbe l'usage de l'appareil et rappelle qu'en matière de boîtiers professionnels, Canon et Nikon gardent une longueur d'avance : sur leurs modèles les plus pointus, la course du déclencheur est réglable. Autre point d'amélioration : les touches physiques, qui auraient mérité un rétroéclairage (façon Nikon D850) ou, au moins, une peinture luminescente. Lors de prises de vue en très faible de luminosité, ce n'est pas du luxe, d'autant qu'à tâtons, votre doigt confondra facilement un bouton avec l'autre. Troisième point, révélé lors de notre prise en main dans le cercle arctique : le grip aurait dû être muni d'une commande de verrouillage afin d'éviter, en conditions extrêmes, de laisser un jeu certes minime, mais suffisant pour entraîner les fatales infiltrations d'eau. Néanmoins, malgré ces reproches, ne boudons pas notre plaisir : c'est de la très belle ouvrage ! Ne reste plus qu'à espérer que Panasonic, un jour, propose en plus une ergonomie plus traditionnelle, comme c'est le cas sur le Lumix LX100 ou sur les Fujifilm X-T2 et X-Pro2, pour ne citer qu'eux. Peut-être pour le remplaçant du Lumix GX8...
Panasonic_LumixG9_Test_LesNumeriques-6.jpg
En ajoutant le grip et sa seconde batterie, l'autonomie bondit à 1 800 vues.
RÉACTIVITÉ 5/5

Équipé de son zoom Leica DG Elmarti 12-60 mm f/2,8-4 ASPH, le Lumix G9 ne craint pas le chronomètre. Mis en face de l'Olympus OM-D E-M1 II, les deux cousins ennemis se tiennent dans un mouchoir de poche. Si l'Olympus démarre plus vite (de 6 centièmes de seconde) et se révèle plus rapide dans de bonnes conditions lumineuses, le Panasonic l'emporte dès que la lumière faiblit, ainsi que dans l'exercice de latence inter-image, aussi bien en JPEG qu'en RAW + JPEG — rappelons que les deux boîtiers disposent de capteurs de 20 Mpx. À noter, nos deux hybrides Micro 4/3 équipés de leurs zooms de kit respectifs (le M.Zuiko Digital 12-40 mm f/2,8 pour l'Olympus) se révèlent plus rapide que le Sony Alpha 9 muni de son FE 24-70 mm f/2,8 GM. Le Sony, par contre, est plus souple et régulier dans son suivi AF, mais cela se joue à une courte tête. Au passage, remarquez que le Lumix G9 tient aisément tête au Nikon D500 qui, grâce à l'érosion des prix, se retrouve dans les mêmes eaux tarifaires.
Chronos_LumixG9.png
Réactivité du Panasonic Lumix G9.
Doté d'un nouveau processeur, le Lumix G9 se distingue clairement dans ses cadences rafales. En plus des classiques positions L, M et H qui ont recours à l'obturateur mécanique (prévu pour 200 000 cycles, capable de monter jusqu'à 1/8 000 s), les positions SH1 et SH2 font appel à l'obturateur électronique (capable de monter jusqu'à 1/32 000 s). Ce dernier lui permet d'atteindre d'impressionnantes cadences, mesurées jusqu'à 65 i/s (au-delà des 60 promises, donc), mais sur un maximum de 50 vues (aussi bien en SH1 qu'en SH2). C'est à la fois source de satisfaction... et de (très relative), déception puisque l'Olympus OM-D E-M1 II, encore lui, tient les 60 i/s sur 99 vues. Notez que si le buffer est globalement généreux, il se limite en rafale H RAW+JPEG à 22 vues.
Chronos_Rafale_LumixG9.png
Cadences rafales disponibles sur le Lumix G9.
Puisque nous en sommes à faire un petit duel à trois entre hybrides sportifs, faisons de nouveau intervenir le Sony Alpha 9. Contrairement à ce dernier, le Lumix G9 ne propose pas de rafale sans black out entre chaque vues, ce qui peut être dérangeant dans certaines situations et constituera un axe d'amélioration non négligeable. Par contre, durant l'enregistrement des images, il demeure possible d'accéder aux menus afin d'ajuster ses paramètres de prise de vue, par exemple. Personne n'est encore parfait, donc, et c'est à vous qu'il revient, en fonction de votre pratique, de déterminer vos priorités.

QUALITÉ DES IMAGES 5/5

Sur le papier, le Lumix G9 est très proche du Lumix GH5, notamment parce qu'il exploite le même capteur CMOS 4/3" de 20,3 Mpx. Néanmoins, le processeur étant tout nouveau, certaines différences se font ressentir... mais pas du côté de la montée en sensibilité. Sur ce chapitre, c'est bonnet blanc et blanc bonnet : les limites de définition du 4/3" semblent être atteintes sur cette génération et, malgré toute la science déployée par les ingénieurs en traitement d'image de Panasonic, nous vous recommandons de ne pas dépasser 3 200 ISO si vous comptez uniquement travailler en JPEG. Heureusement, la stabilisation hybride permet de gagner 6,5 diaphragmes, ce qui retarde au maximum le moment de jongler avec les ISO !

Toutefois, la photographie n'est pas qu'une histoire de chiffres et à l'usage, les rendus bien différents du Lumix GH5 et du Lumix G9 se font ressentir, en faveur du G9. Ce dernier offre une colorimétrie plus chaude, profitable aux teintes chair, et travaille mieux sur les grands aplats de couleur. Sur une image unique, le bénéfice ne saute pas immédiatement aux yeux, mais une dizaine d'images suffit pour apprécier le travail d'optimisation réalisé par les ingénieurs. Donc dans ce domaine aussi, Panasonic progresse, même si nous ne sommes pas encore tout à fait au niveau d'un APS-C X-Trans de Fujifilm. À chacun sa spécialité.
 


La grande nouveauté de ce Lumix G9, pour un Panasonic, est que le mécanisme de stabilisation du capteur peut être utilisé pour créer des images d'une définition supérieure à sa définition native. En l'occurrence, ce mode a été baptisé "Mode Haute Résolution" et peut générer des images de 40 Mpx ou 80 Mpx. Il est très similaire au mode équivalent proposé par l'Olympus OM-D E-M1 II (encore lui). Pour un résultat optimal, nous vous recommandons de ne pas le pousser au-delà de 40 Mpx, mais il demeure toutefois très appréciable sur les sujets statiques. Pour en savoir plus, nous vous invitons à consulter l'article que nous avons consacré à ce mode.
 
VIDÉO 5/5

En vidéo, le Lumix G9 a un énorme problème : juste à côté de lui, son grand frère le Lumix GH5 (et désormais le Lumix GH5s, que nous n'avons pas encore testé à l'heure où nous écrivons ces lignes), lui fait de l'ombre. Donc, ici, pas de V-Log, pas de 4:2:2 10 bits en interne, pas de 4K Ciné en 4 096 x 2 160 px... Pour autant, remettons les choses dans leur contexte : même s'il se présente comme un spécialiste de la photographie, le Lumix G9 est immensément doué en vidéo.

Car il ne fait pas dans la demi-mesure ! Ainsi propose-t-il la 4K/UHD en 60p, la Full HD en 60p (voire 180p, mais la mise au point manuelle est alors imposée), ainsi qu'un enregistrement à 150 Mb/s. Bien plus que l'écrasante majorité des APN du marché, en somme. Il s'offre même le luxe de filmer en 24p, ce que les amateurs de rendus cinématographiques ne sauront qu'apprécier. Bref, même quand Panasonic se contente de faire un boîtier aux fonctions vidéo allégées, ce dernier demeure au-dessus du lot. Du coup, si vous n'avez pas de besoins vidéographiques très poussés ou spécifiques, un Lumix G9 suffira largement : pas besoin de basculer vers le Lumix GH5, car GH5 excepté, le Lumix G9 est tout simplement le meilleur Micro 4/3 en vidéo.

POINTS FORTS
  • Capteur stabilisé sur 5 axes (gain de 6,5 IL).
  • Viseur Oled de 3,68 Mpts (grossissement 0,83x).
  • Double logement SD UHS-II.
  • Rafale jusqu'à 10 i/s (en mécanique) et 60 i/s (en électronique).
  • Modes 40 Mpx et 80 Mpx.
  • Vidéo 4K/UHD 60p, 30p, 25p et 24p.
  • Vidéo Full HD jusqu'à 180p.
  • Écran tactile et orientable.
  • Connectique complète : casque, micro, USB 3.0, HDMI, Wi-Fi, Bluetooth.
  • Tropicalisation.
  • Écran secondaire rétroéclairé.
  • Autonomie de 900 vues.
POINTS FAIBLES
  • Course du déclencheur trop courte.
  • Touches non rétroéclairées.
  • Hautes sensibilités perfectibles.
  • Connecteur USB 3.0 Micro-B SuperSpeed et pas Type-C.
CONCLUSION 5/5
Si le Panasonic Lumix G9 est impressionnant, c'est parce qu'il parvient, en un seul et unique boîtier, à faire la synthèse de tout ce que l'on attend d'un très haut de gamme : tropicalisation, endurance, rapidité de l'autofocus, ergonomie intelligente, le tout saupoudré d'une bonne dose de modernité et de vidéo 4K/UHD 60p. La perfection n'existe certes pas en ce bas monde, mais pour le coup, les ingénieurs d'Osaka s'en rapprochent. Et ils s'en rapprochent d'autant plus qu'avec tout ce qu'il offre, le Lumix G9 se paye le luxe de ne pas faire flamber les prix (toutes proportions gardées bien sûr, nous restons quand même dans le haut de gamme). Chapeau, les artistes. Encore. Encore !
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Test : Panasonic Lumix G9, l’hybride expert presque parfait

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FICHE TECHNIQUE du Panasonic Lumix G9
LES PLUS
  • + Boîtier tropicalisé
  • + Ecran LCD supérieur
  • + Ergonomie
  • + Performances photo générales
  • + Vidéo 4K de haut niveau
  • + Parc optique riche
LES MOINS
  • - Plus lourd que les Micro 4/3 classiques
  • - Bruit numérique à partir de 3200 ISO
LE VERDICT DU TEST
Panasonic Lumix G9

Pour séduire les photographes avec son Lumix G9, Panasonic a mis tout ce qu'il avait sous le coude et tout ce qu'il était possible d'intégrer dans un boîtier à 1700 euros. Non seulement la marque a mis le paquet en termes de technologies (AF, rafale, 4K, etc.), mais elle n'a lésiné ni sur l'équipement (viseur de grande qualité, LCD sur le dessus de l'appareil), ni sur l'ergonomie et la durabilité, exemplaires dans les deux cas. L'ergonomie est désormais similaire à celle des reflex, mais le confort d'utilisation est bien meilleur : le système est plus compact et plus léger, et l'écran orientable tactile est ultra pratique.

Moins complexé par son rang de challenger, Panasonic signe ici ce qui est non seulement son meilleur boîtier, mais aussi l'un des meilleurs hybrides jamais sorti. Si le capteur Micro 4/3 a ses limites, le Lumix G9 n'a lui quasiment aucune faiblesse. Un boîtier marquant la maturité de la marque Panasonic qui commence - enfin ! - à comprendre qu'elle a toute sa légitimité en photographie. Une petite merveille.

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